Dans sa pièce Les Serrenhos du Caldeirão (2012), la chorégraphe portugaise Vera Mantero en appelle à un usage non prédateur du passé et de la citation.
Elle reprend sur scène des chants de paysans au travail dont elle montre les images. Elle chante pour eux et ce faisant, elle tente de leur rendre quelque chose - le sens de leur geste.
Loin de thésauriser, de capitaliser sur le passé, il s’agit d’entretenir un dialogue équitable entre les œuvres du passé et celles du présent. Alors que (...)
Accueil > Médiathèque numérique > Explorer les collections > Dossiers thématiques > Cultures de l’oubli et citation : les danses d’après, II > Pour un usage non prédateur du passé