Je ne sais pas, un jour, peut-être

Après une collaboration artistique d’une dizaine d’années en compagnie du chorégraphe Andréas Schmid, Nathalie Pernette s’aventure seule sur les chemins de la création. Trois ans après la constitution de sa nouvelle compagnie en 2001 et la réalisation de trois pièces chorégraphiques (« Suites », en 2001, « Délicieuses », en 2002 et « Le Nid », en 2003), elle se confronte pour la première fois à l’exercice de l’autoportrait. La pièce qui en voit le jour s’intitule « Je ne sais pas, un jour, peut-être... », annonçant par la composition même de son titre une série de trois temps distincts.