Paris-Alger

En amont du lancement du label « Djazaïr, une année de l’Algérie en France » et sur l’invitation de Régine Chopinot et de l’Action française d’action artistique (AFAA), Nacera Belaza se rend à Alger en juin 2001. Le temps d’un week-end, elle parcourt la ville et ses diverses structures culturelles, assiste à toutes les manifestations de danse afin d’établir un état des lieux de la danse contemporaine.
Le résultat de cette enquête est un constat relativement lourd. En effet, aucune formation n’existe en danse contemporaine et aucun espace ne lui est réellement dédié. Pourtant, la jeune chorégraphe ressent auprès des gens qu’elle rencontre un profond désir de danse et donc un potentiel à développer.