Que ma joie demeure

Un roman de Christian Bobin, « La Folle Allure », est à l’origine de cette création de Béatrice Massin. Sa lecture déclenche en elle l’envie de travailler sur la joie, le plaisir et sur l’architecture musicale de Jean-Sébastien Bach. Depuis longtemps elle songeait à aborder ce compositeur. Pour sa première approche, elle choisit les deuxième, troisième et sixième concertos brandebourgeois, décidée à en décliner l’allégresse volubile.