« Abila » est une création du chorégraphe contemporain kenyan Opiyo Okach qui, depuis 2000, vit et crée entre la France et l’Afrique. Après plusieurs pièces, dont notamment un trio et un solo, Opiyo Okach s’attèle avec « Abila » à une forme plus complexe de danse : un quintet avec installation sonore et vidéo.
Accueil > Mots-clés > Thèmes > Contemporains d’Afrique du nord au sud
Contemporains d’Afrique du nord au sud
Articles
-
Abila
27 septembre 2011, par abdel -
Kôkô, Koffi
28 septembre 2011, par abdelNé à Cotonou au Bénin, Koffi Kôkô est initié aux rites animistes Nago et danse son premier rituel pour les ancêtres et les divinités à l’âge de huit ans. Par la suite, de 1972 à 1975, il suit une formation artistique à Abidjan, en Côte-d’Ivoire, avant de se former aux danses occidentales, classique et contemporaine.
En 1976, Koffi Kôkô s’installe en France et s’intéresse aux formes occidentales de la danse et du spectacle. Il rencontre notamment Peter Goss, Yoshi Oida et Pierre Doussaint. Il se forme également aux Etats-Unis auprès de maîtres américains tels que Alvin Ailey et Katherine Dunham. -
Okach, Opiyo
28 septembre 2011, par abdelOpiyo Okach commence sa formation artistique et sa carrière par le mime, devenant ainsi le seul mime professionnel du Kenya. Il devient également le directeur artistique de la première compagnie de danse contemporaine de ce pays. Opiyo Okach fait partie de cette nouvelle génération de créateurs africains travaillant le corps au croisement de la danse, du mime et du théâtre corporel. Il participe, entre 1987 et 1989, à une série d’ateliers de mime avec divers artistes européens qui séjournent au Kenya et se familiarise ainsi avec différents styles et techniques, de la pantomime blanche traditionnelle au mime corporel d’Etienne Decroux.
-
Rary (compagnie)
28 septembre 2011, par abdelLa compagnie Rary est fondée en 1995 à Madagascar par le danseur et chorégraphe Ariry Andriamoratsiresy. Autour du chorégraphe, la compagnie, qui se veut pluridisciplinaire, regroupe sept danseurs et deux musiciens, le théâtre, la musique, les arts plastiques et la danse. La compagnie présente son travail lors de nombreux concours, notamment lors des troisièmes Rencontres chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan Indien / Sanga I, qui ont lieu à Madagascar en 1997, avec la pièce « Kila », et également au Marché des arts et spectacles africains (MASA) à Abidjan en 2000.
-
Orlin, Robyn
28 septembre 2011, par abdelRobyn Orlin s’est formée en danse classique, puis en danse contemporaine. Après des études à la Royal Academy of Dance de Londres de 1965 à 1972, puis à la London School of Contemporary Dance de 1975 à 1979, Robyn Orlin rejoint le Market Theatre, scène alternative et contestataire du quartier de Newton à Johannesburg.
En 1985, elle retourne à l’université de Londres, auprès de la Laban School at Goldsmith College. De 1990 à 1993, elle part vivre aux Etats-Unis et suit un master au Fine Arts Institute de Chicago. Ce séjour est déterminant dans son parcours et le choix de ses orientations artistiques. Elle revient ainsi en Afrique du Sud avec la volonté de retourner au spectacle vivant, tout en développant, mais en nuançant, l’engagement politique de ses pièces. -
Paris-Alger
28 septembre 2011, par abdelEn amont du lancement du label « Djazaïr, une année de l’Algérie en France » et sur l’invitation de Régine Chopinot et de l’Action française d’action artistique (AFAA), Nacera Belaza se rend à Alger en juin 2001. Le temps d’un week-end, elle parcourt la ville et ses diverses structures culturelles, assiste à toutes les manifestations de danse afin d’établir un état des lieux de la danse contemporaine.
Le résultat de cette enquête est un constat relativement lourd. En effet, aucune formation n’existe en danse contemporaine et aucun espace ne lui est réellement dédié. Pourtant, la jeune chorégraphe ressent auprès des gens qu’elle rencontre un profond désir de danse et donc un potentiel à développer.
- 1
- 2