Première pièce chorégraphiée par Lycette Darsonval qui en incarne le principal rôle féminin, « La Nuit vénitienne » est créée et représentée lors de galas où la ballerine se produit en vedette. La ballet est ensuite inscrit au répertoire de l’Opéra de Paris où il est représenté neuf fois jusqu’au 12 août 1939...
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Lecomte, Nathalie
Articles
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Nuit vénitienne (La)
30 décembre 2011, par abdel -
Sangalli, Rita
23 septembre 2011, par abdelNée en Italie à Antegnate le 20 août 1849, Rita Sangalli est formée à l’école de la Scala, à Milan par Auguste Hus. Elle fait ses débuts dans ce théâtre en 1862, mais c’est à l’étranger qu’elle poursuit toute sa carrière. Engagée au Her Majesty’s Theatre de Londres en 1866, elle part pour New York où elle triomphe en compagnie de sa compatriote Maria Bonfanti dans « The Black Crook », extravaganza(1) créée le 12 septembre 1866. Elle monte ensuite une compagnie avec laquelle elle se produit (…)
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Van Goethem, Charlotte
23 août 2011, par abdelNée à Paris le 18 juillet 1870, Louise-Joséphine Van Goethem est la troisième fille d’un tailleur et d’une blanchisseuse d’origine bruxelloise. Ses soeurs aînées la précèdent à l’Opéra de Paris : Antoinette y est figurante de la danse à la fin des années 1870 et Marie-Geneviève (dite Marie), engagée comme quadrille
en 1880 dans le corps de ballet en est révoquée en 1882. C’est sous le nom de Charlotte Van Goethem (souvent orthographié Van Goethen) que Louis Joséphine réalise quant à elle (…) -
Sylvia par Louis Mérante
29 novembre 2011, par abdelLe librettiste Jules Barbier trouve son sujet dans l’oeuvre du poète Torquato Tasse, dit Le Tasse. Celui-ci emprunte à la mythologie classique antique le personnage de la chasseresse Sylvia, qu’il met en scène dans sa pastorale « Aminta » (1573). Dans une Arcadie raffinée où l’amour est au centre des relations entre les dieux et les humains, Le Tasse met en scène les émois du berger Aminta lors de sa rencontre avec la chasseresse vouée à Diane. L’Amour - déguisé en berger - tire les ficelles (…)
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Anacréontisme
23 août 2011, par abdelL’anacréontisme recouvre toute oeuvre conçue à la manière et dans le goût des « Odes » du poète lyrique grec Anacréon (seconde moitié du VIe siècle avant J.-C.), dans lesquelles il chante les plaisirs du vin, de la table et surtout de l’amour.
Dans le domaine de l’art chorégraphique, les ouvrages de fantaisie ayant pour cadre l’antiquité gréco-latine et qui privilégient la mythologie galante et gracieuse sont qualifiés d’anacréontiques. -
Trois Siècles de danse à l’Opéra de Paris
30 décembre 2011, par abdelEn 1941, Lycette Darsonval imagine de présenter un spectacle retraçant quelques-unes des étapes marquantes de l’évolution du ballet classique, à travers l’évocation de figures d’interprètes emblématiques et d’oeuvres célèbres. Pour cela, elle conçoit un programme - constitué d’extraits ou de courtes pièces - qui balaye l’histoire de l’art chorégraphique en France, du ballet de cour de Louis XIV jusqu’aux dernières créations néoclassiques...
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Sylvia et ses versions
29 novembre 2011, par abdelCréé le 14 juin 1876 dans la nouvelle salle de Charles Garnier, le ballet « Sylvia », signé par Louis Mérante, est représenté 51 fois jusqu’en juillet 1884. Le 15 octobre 1881, l’acte I y est donné en extrait à l’occasion du Festival de l’électricité.
Le ballet est remonté le 17 juin 1892, à l’attention de Rosita Mauri qui succède à Rita Sangalli dans le rôle-titre. Il n’est donné que 7 fois jusqu’au 4 janvier 1893. Mais l’incendie des décors de l’Opéra en 1894, dont ceux de « Sylvia », (…) -
Combat
29 décembre 2011, par abdel« Combat » est créé lors d’une tournée de la compagnie de Lycette Darsonval à Genève, dans le cadre d’un programme intitulé « Les ballets classiques à l’Opéra », variante de « Trois Siècles de danse à l’Opéra de Paris ». S’appuyant sur la partition de Rafaello de Banfield, que William Dollar avait déjà chorégraphié en 1950 sous le titre « The Duel », Lycette Darsonval évoque l’épisode de l’affrontement entre Tancrède et Clorinde, emprunté à la « Jérusalem délivrée » du poète italien Le (…)
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Que ma joie demeure
11 octobre 2011, par abdelUn roman de Christian Bobin, « La Folle Allure », est à l’origine de cette création de Béatrice Massin. Sa lecture déclenche en elle l’envie de travailler sur la joie, le plaisir et sur l’architecture musicale de Jean-Sébastien Bach. Depuis longtemps elle songeait à aborder ce compositeur. Pour sa première approche, elle choisit les deuxième, troisième et sixième concertos brandebourgeois, décidée à en décliner l’allégresse volubile.
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Etoile
23 décembre 2011, par abdelLe mot « étoile » désigne le grade le plus élevé du corps de ballet de l’Opéra de Paris.
Lycette Darsonval et Solange Schwarz sont les premières à recevoir officiellement le titre de « danseuse
étoile » en 1940 et l’année suivante, Serge Peretti se voit attribuer pour la première fois celui de « danseur
étoile ». Jusque-là, le grade supérieur était administrativement parlant celui de « premier danseur/euse »,
qui avait lui-même remplacé, dans le courant du XIXe siècle, celui de premier sujet utilisé au XVIIIe siècle.
Mais le terme « étoile » circule dès la fin du XIXe siècle pour désigner certains interprètes de la danse aux
qualités exceptionnelles. Ainsi, l’emploi du mot est attesté lors de la création en 1897 d’un ballet intitulé l’ «
Étoile », dont l’héroïne est précisément la meilleure danseuse de l’Opéra.
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